La DGESIP (Direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle) a déclaré, lors d’une réunion qui s’est tenu ce jeudi 21 février au ministère et à laquelle le SNP a assisté, que la durée limite de six mois fixée par la loi Cherpion peut s’entendre prorata temporis.
Chaque mois à temps plein comportant en moyenne 22 jours travaillés de 7h soit 154h, six mois en comportent 6 x 154 = 924 heures.
La durée des stages du cursus de psychologie, toujours à temps partiel, doit être calculée en équivalent horaire et ces stages sont donc, quelle que soit leur durée de date à date, inférieurs, prorata temporis, à la limite fixée par la loi Cherpion.
Nous espérons qu’une instruction ministérielle viendra rapidement officialiser ces déclarations de la DGESIP.
Mais ceci est la seule bonne nouvelle car, par ailleurs, aucun financement des gratifications prévues par la loi, pour les stages se déroulant sur une période supérieure à deux mois, n’est pour l’instant trouvé.