L’inclusion pose à notre société une question éthique : sommes-nous prêts à accueillir et nous adapter aux vulnérabilités et aux différences de sujets que nous disons » atypiques « ? En tant que représentant de la Cité, chacun d’entre nous peut au quotidien faire le choix conscient de la tolérance et du respect de l’humain, mais qu’en est-il de notre pratique professionnelle lorsque l’inclusion devient un mot d’ordre politique, une pensée globale plutôt qu’une attention à la singularité irréductible de l’autre ?