Le SNP : Une volonté politique de défendre réellement la profession

Une cohérence et une détermination du SNP

Dès 2017 avec la mise en place des expérimentations CNAM puis par la suite face à une l’avalanche d’arrêtés et de dispositifs, et enfin à la lecture de l’amendement relatif au dispositif unifié, le SNP a toujours tenu le même discours. 

La dénonciation systématique des expérimentations ou des dispositifs mis en place par arrêtés.

  • Un refus des conditions imposées avec une sous-tarification.
  • Une opposition constante à toute forme de prescription médicale.
  • Un rejet des méthodes imposées au travers d’un Recours au Conseil d’Etat de l’arrêté du 10 mars 2021. 
  • Une revendication de l’indépendance des consultations psychologiques, tout en maintenant la collaboration avec les partenaires. 
  • Une exigence d’une qualité d’intervention en référence au Code de déontologie et le respect dû au public. 
  • Un Doctorat professionnalisant (3 ans avec une pratique rémunérée) pour renforcer la qualité d’intervention auprès des personnes en souffrance. 

Le refus d’une inféodation

L’obligation du passage par l’indication médicale n’est que le fruit d’une vision gestionnaire et d’un lobby médical. Rien ne le justifie au plan clinique et statutaire. 

Le SNP s’est battu et se bat sur, a soutenu plusieurs positions : 

  • Une contestation du blocage statutaire et formatif entravant tout allongement des études et justifiant après-coup la mainmise sur les psychologues.
  • Le refus d’une imposition des conditions d’exercice inadéquates.
  • Le refus d’une restriction du libre choix du psychologue par le public.
  • Le refus de la réduction de la pluralité des approches et des modèles.
  • Une lutte contre la paupérisation et l’ubérisation des psychologues. 
  • Une revendication salariale pour les salariés du privé et de l’hospitalier,
  • Une rémunération décente pour les libéraux. 
  • Un maintien de l’exercice dans le respect du Code de déontologie.
  • L’indépendance de l’approche psychologique sous la responsabilité de la profession. 
  • Une défense de la qualité de l’intervention psychologique dans le respect d’un public en souffrance psychique.
  • Une organisation de la profession pour répondre aux besoins de la population avec un dispositif national décliné en régions sous la gouverne des organisations professionnelles.
  • Une implication forte des professionnels dans le cursus professionnalisant et la délivrance du Droit d’exercice. 

Une lutte politique et législative

Depuis le début de son existence, le SNP a travaillé avec les parlementaires. Depuis 2020, une reprise intensive de ce travail a été effectuée avec les députés et les sénateurs. 

  • Les actions menées par le SNP ont été résumées par un précédent communiqué. 
  • Des courriers ont été envoyés à l’ensemble des députés et sénateurs depuis février 2020. 
  • Des dizaines de contacts et envois individuels ont permis au SNP de solides appuis politiques. 
  • Plus d’une centaine de rencontres ont été réalisées avec les parlementaires, surtout depuis mai 2021. 
  • Plus de 80 questions écrites ont été rédigées avec et par les députés à l’intention du Ministre des Solidarités et de la Santé. 
  • Des propositions d’amendements ont été proposées pour le Projet de Loi de Financement de la sécurité Sociale. 
  • Le SNP a suivi la mise en place d’une lettre individuelle des psychologues aux parlementaires.

LE SYNDICAT NATIONAL DES PSYCHOLOGUES :

UN SYNDICAT ACTIF ET OFFENSIF PROMOUVANT LA RESPONSABILITÉ DES PSYCHOLOGUES DANS LEUR EXERCICE

UN SYNDICAT DÉFENDANT LA CAPACITÉ D’AUTO-ORGANISATION DE LA PROFESSION ET SON INDÉPENDANCE 

UN SYNDICAT SOUTENANT LA QUALIFICATION RENFORCÉE DES PSYCHOLOGUES

UN SYNDICAT S’OPPOSANT AUX POSITIONS COMPLAISANTES VIS-À-VIS DU GOUVERNEMENT

UN SYNDICAT PROMOUVANT DES CONDITIONS D’EXERCICE QUI, FINANCIÈREMENT, PERMETTENT LA PÉRENNITÉ DE LA PROFESSION